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lycée michelet - Page 41

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE TRES PARTIMONIALE

    Cette semaine sera marqué par les traditionnelles journées Européennes du Patrimoine, avec les traditionnelles visites du lycée Michelet, du prieuré des bénédictines, de l’orgue – le nouveau – de l’église St Remy…  et les célébrations du centenaire de la guerre 1914-18 avec à l’hôtel de ville, l’exposition  « Vanves dans la grande guerre ». De nombreux tableaux ont été conçus  par le service des Archives sur le maire de l’époque, Aristide Duru, le lycée Michelet, l’Ouvroir municipal et ses ateliers de confection qui travaillaient en lien avec l’intendance militaire, le ravitaillement en charbon et en denrées alimentaires de la population qui devenait de plus en plus difficile etc… En même temps, une autre exposition est organisé par le Conseil Général et les Archives départementales (entre le 15 Septembre et le 29 Mai 2015)  sur « Les Hauts-de-Seine dans la Grande Guerre (1ère partie : mobiliser, soutenir, soigner). Elle donnera un aperçu du déroulement et de l’impact de la Première Guerre mondiale dans les différentes communes qui composent actuellement le département des Hauts-de-Seine. Elle présentera notamment une très importante collection d’affiches administratives et de propagande, de cartes, de gravures et cartes postales, et des collections de presse périodique locale, dont certains titres assez rares comme « Vanves-Malakoff » sur la période 1914-1917. A Vanves, il est prévu une conférence de Jean Marc Valentin, président de l’association des généalogistes sur le « carré militaire du cimetière » le samedi 20 Septembre à 17H. 

    Lundi 15 Septembre 2014

    A 19H30 à l’Hôtel de Ville :  Remise des labels « Eco-Défis » dans le cadre du Programme local de prévention des déchets initié par  Grand Paris Seine Ouest (GPSO) à l’attention des artisans du territoire, en partenariat avec la Chambre de Métiers et de l’Artisanat des Hauts-de-Seine (CMA 92), en présence de Pierre Christophe Baguet, président de GPSO, Daniel Goupillat Président du CMA92 et du maire de Vanves. 119 artisans,  qui ont mis en place au moins trois actions concrètes en faveur de l’environnement, ont été retenus par le comité de labellisation., come par exemple,un salon de coiffure qui propose des teintures végétales, un artisan qui fabrique des meubles à partir de fûts recyclés, une boulangerie qui sensibilise les enfants en leur offrant uner friandise en échange de leurs sachets de bonbons vides…

    A 19H30  à l’espace La Tuilerie : Conférence organisée par le Challenger Club avec la JCE GPSO et animée par Maître Roxana Bungartz sur le thème : « Comment gérer ses impayés »: "Un sujet auquel "nous sommes malheureusement parfois confrontés. Venez découvrir, lors de cette conférence, les erreurs à ne pas commettre et les moyens de se protéger…"

    Mardi 16 Septembre

    A 19H à l’Hôtel de Ville : Remise de la  décoration des Arts et Lettres à Jacques Brachet, qui est un peintre licier. Il est un acteur important du mouvement de la Nouvelle Tapisserie, avec des artistes qui se sont extirpés du statut de simple peintre cartonnier, pour se collecter directement avec la matière, comme le fit à la même époque Grau Garriga. Cet artiste qui a redonné ses lettres de noblesse à la tapisserie, a formé des tas d’élèves et exposé dans de nombreux pays, a installé son atelier à Vanves dans une ancienne épicerie de la rue de Châtillon, tout à côté de son épouse Monique Corsi qui occupait l’un des logements d’artistes peintres de la cité Payret Dortail. Elle  avait reçu la même distinction des mains du maire voilà deux ans.  Jacques Brachet qui forme un couple indissociable avec Corsi, avait alors expliqué que chacun vivait sa vie d’artiste de son côté, dans leur atelier respectif, et découvrait leurs œuvres comme les autres lorsqu’elles étaient terminées, se refusant à interférer sur le travail de l’autre

    Mercredi 17 Septembre

    A 19H30 à la MJC de Malakoff : Réunion de l’ARGC (Association des Riverains de la Gare de Clamart) qui regroupe les riverains du projet de la gare du Grand Paris Express. La plupart d’entre eux, en tous lescas, ceux qui se situent dans le faisceau des 100 m du tracé, font l’object actuellement de contaxct par le bureau Véritas  pour effectruer des visitees afinde recueillir le maximum d’informations concernant les sols et les batis, en lien avecle Spociété du Grand Paris

    Vendredi 19 Septembre

    A 19H30 à la Palestre : Lancement Officiel du Mois du Commerce 2014

    Samedi 20 Septembre

    A 11H30 au Relais de Vanvres : Apéritif et chansons françaises, avec Pierre Meige,  dans le cadre du Mois du Commerce

    A 14H au Lycée Michelet : Visite commentée du lycée qui a célébré en Mai ses 150 d’existence dans un site qui a plus de 300 ans d’histoire

    A 14H30 au Prieuré Sainte Bathilde : Visite de ce monastére édifié par Dom Bellot, moine bénédictin, et consacré par Mgr Roncalli, Nonce et futur pape Jean XXIII en 1949, avec l’ouverture exceptionnelle de son jardin, une exposition des œuvres de Sr Marie Boniface Stolberg…

    A 15H à l’Hôtel de Vile : Ouverture de l’exposition consacrée à « Vanves dans la Grande Guerre » qui se déroulera jusqu’au 4 Octobre 2014

    A 17H à l’Hôtel de Ville : Conférence de Jean Marc Valentin président de l’Association des Généalogistes de Vanves sur « le carré militaire 1914-18 »

    A 20H au Gymnase A .Roche : Match de Basket Vanves -  Cergy / Osny / Pontoise

    A 20H au Plaisir des Mets : Soirée musicale autour  de spécialités vietnamiennes

    Dimanche 21 septembre

    A 10H30 (et à 15H30) au Parc F.Pic : Visites commentées autour des arbres remarquables par le Conseil des Seniors.

    A 14H30 au Prieuré Sainte Bathilde : Visite de ce monastére où vivent les bénédictines avec des vêpres à 18H

    A 14H30 Et à 16H à l’église Saint Remy : Visite comentée  de l’église suivie d’une présentation du nouvel orgue Kern et d’une audition de l’instruiment par Loic de Lacombe

    A 15H (et à 18H30) à l’Hôtel de Ville : Visites-conférence des peintures murales d’Henri Daien, « une vision de Vanves à la veille de la Grande Guerre, entre réalisme et lyrisme » proposées par les Archives

    A 15H place Michel Ange (derrière l’hôtel Mercure) : Visite commentée des églises de la Sainte Trinité et des Nouveaux Martyrs de la Terre Russe om sont conservés les icônes de Grégoire Krug e Léonide Guspensky

    A 15H30 au parc F.Pic : Crêtes party animée au kiosque O’Ben

    A 15H30 au PMS A.Roche : Mach de football Stade de Vanves-Antony

  • JEAN BAPTISTE DUCOURNAU A CHOISI LE VANVES QU’IL AIME POUR DECOR DE SON PREMIER ROMAN POLICIER : LUCIFUGES (suite et fin)

    Le Blog Vanves Au Quotidien a rencontré Jean Baptiste Ducournau, autour d’un roman policier – Lucifuges – qui a pour décor Vanves. Il a fait parler de lui, cet été, puisqu’il a remporté le prix « Nos lecteurs ont du talent » décerné par la FNAC qui offrait la version numérique lors de l’achat d’une liseuse numérique et Place des Editeurs. Il nous parle de ce premier roman qui se déroule à Vanves et à Paris au 36 Quai des Orfèvres, avec pour personnage principal, un inspecteur de police passionné de pêche

    Vanves Au Quotidien - Est-ce que l’intrigue se déroule dans la ville ?

    Jean Baptiste Ducournau : « Une grosse partie de l’intrigue avec des suspects potentiels qui sont vanvéens, entre  le lycée Michelet,  le centre Ancien et le parc F.Pic, avec le boulevard du lycée.

    VAQ - Vous êtes-vous inspiré de certains habitants de Vanves ?

    J.B.D. : « Le « François » du Tout Va mieux est inspiré de Gilbert, un autre personnage du patron de la pizzeria rue Kléber, Gérard le suspect dentiste place Kennedy du docteur Jurado…et d’autres que j’apprécie. J’ai besoin d’avoir un peu de mon vécu pour écrire un roman policier. Ce n’est pas un copier-collé mais vous prenez des éléments autour de vous ? Je parle mieux de ce que je connais.

    VAQ - Quelles questions abordez-vous à travers ce roman policier ?

    J.B.D. : « La prostitution, certaines dérives de la bourse, tout ce qui concerne le marché hors côte et le marché libre, et vous en avez eu un exemple récemment, le fait de ne se fier aux apparences, avec une certaine forme d’homophobie, de gens hypersensibles…des dérives, mais aussi de certaines corporations de police, notamment la brigade des stupéfiants et l’exemple de l’abruti qui pensait partir avec le jackpot, l’affaire Merey…

    VAQ - Connaissiez vous déjà ce milieu policier ?

    J.B.D. : « J’ai eu l’occasion de le cotoyer pour différentes raisons. C’est pourquoi je me suis beaucoup intéressé à ce sujet.

    VAQ - Pourquoi ce titre Lucifuges ?

    J.B.D. : « Parce que je parle des catacombes, car Lucifuge est une définition zoologique qui parle des animaux qui préfèrent vivre dans l’obscurité et n’aiment pas trop la lumière. Parce que le suspect principal est terré dans les catacombes de Paris, et qu’il ne sport que la nuit, car il n’aime pas la lumière. Pacce que c’est aussi le poisson préféré du commissaire Viornelius, le Cendre qui est un carnassier lucifuge parce qu’il chasse principalement la nuit. Et étonnamment, c’est un carnassier qui chasse en bande, blesse plein de poissons, et vient ensuite les récupérer. C’est une autre démarche que le brochet qui va gober et digérer sa proie. Et parce que les prostituées du bois de Boulogne ne sortent que la nuit. C’est donc une métaphore !

    VAQ - Pourquoi ce prix de la FNAC ?   

    J.B.D. : « Ayant essuyé des refus des maisons d’éditions avec quelques lettres d’encouragement, j’ai préféré envoyé mon roman à deux concours, l’un où je suis arrivé en finale et l’autre que j’ai remporté. Ce qui  a surtout plu au jury, c’est l’univers, les rapports entre les personnages très fouillé, avec énormément d’humour….J’ai retravaillé le roman car j’ai tendance à faire trop long comme pour tous les auteurs débutants. J’ai été mis en avant tout l’été par les fabricants de liseuses, offert à tous ceux qui achetaient une liseuse.

    VAQ - Le livre numérique n’est il pas un frein quelque part ?

    J.B.D. : « C’est à double tranchant. Le numérique peut être un frein et en même temps, une chance car ceux qui s’en occupent communiquent beaucoup, sont présents sur les réseaux sociaux, les blogs…. Et c’est en train d’exploser avec plein d’auteurs qui passent ensuite au papier. C’est aussi une occasion de lancer à moindre frais de nouveaux auteurs débutants sans entraîner des coûts énormes. Cela  permet aux jeunes auteurs d’avoir le pied à l’étrier. 

    VAQ – Bientôt un second roman ?

     

    J.B.D. : « Il est quasiment fini. Dés que j’ai terminé  le premier, j’ai commencé un second, avec le même commissaire, et j’aborderais d’autres thémes, notamment le rapport de la société avec la politique sur le trafic de stupéfiant qui est un échec total, et les prisons françaises, en gardant le style, l’univers, les personnages, Vanves comme décor. 

  • VANVES CHOISI COMME DECOR POUR SERIES TV ET ROMANS POLICIERS : APRES JULIE LESCAUT A LA TV, LUCIFUGES EN VERSION NUMERIQUE PAR JB DUCOURNAU

    Décidémment, Vanves attire les auteurs de séries ou de romans policiers. Voilà une vingtaine d’années, débutait à l’automne 1994 le tournage d’une série policiére « Julie Lescaut » à Vanves qui s’est arrêtée voilà peu. On peut revoir les premiers épisodes sur TV Breizh ou d’autres chaînes du câble ou de la TNT  et reconnaître le centre ancien de Vanves, avec son faux commissariat installé dans les locaux de DEF Incendie (remplacé par ce nouvel immeuble avec le magasin de la chaine Bio C Bon au rez de chaussée) sur la place de la République. Quelques vanvéens ont joué les figurants, d’autres ont prêté leurs locaux comme décor comme le Tout va mieux de « Gilbert ».

    Vingt ans plus tard, c’est un jeune vanvéen de toujours qui a planté le décor de son roman policier – Lucifuges – dans cette ville qu’il apprécie beaucoup : Jean baptiste Ducournau.  Il a fait parler de lui, cet été, puisqu’il a remporté le prix « Nos lecteurs ont du talent » décerné par la FNAC qui offrait la version numérique de son livre lors de l’achat d’une liseuse numérique. Vanves au Quotidien a rencontré ce jeune auteur qui fait partie d’une famille vanvéenne de vieille souche, qui a vécut toute son enfance villa Quincy, fondée par l’une de ses arriéres-arriéres-arriéres grand-mére, avec une grande mére et une mére qui ont été institutrices à l’école du Parc et un peu à Larmeroux, et ont bien sur marqué beaucoup de générations vanvéennes. C’est la raison pour laquelle il aime profondément cette ville et qu’il est revenu s’y installer après quelques infidélités. Il nous en parle dans la première partie de cet entretien, et demain, il abordera bien sûr son premier roman policier

    Vanves Au Quotidien - Pourquoi avoir choisi Vanves comme décor de ce roman policier ?

    Jean Baptiste Ducournau : « Parce que l’on parle bien que ce que l’on connait et que l’on aime. C’est comme un commercial ! S’il est convaincu par son projet, il en parle plus facilement. Et je suis convaincu de mon produit

    VAQ - Mais encore ?

    J .B.C. : »J’ai grandi à Vanves, fait mes études à l’école du parc, au lycée Michelet surtout qui est une institution, avec un très beau parc, des professeurs remarquables, entre 1978 et 1995, du temps du proviseur Bousquet. Mais je n’ai pas eu l’occasion de mettre les pîeds dans son bureau, ni de rejoindre le club de rugby du lycée, malgré les sollicitations de M.Bourgeois. C’est peut être l’un de mes plus grands regrets. J’ai fréquenté notamment le parc F.Pic avec son concours de pêche qui m’a beaucoup marqué. Un événement rassembleur, folklorique,  auquel j’ai participé et qui permettait aux vanvéens de partager une passion commune autour d’un événement « village ». Je pense que l’on devrait le refaire mais juste pour les enfants. J’ai connu le Tout Va Mieux, formule « Gilbert » où on se retrouvait entre les cours pour jouer au flipper mystique « le Polyforce » de chez Williams. On débarquait à 6 ou 7, sans nous obliger à consommer,  et Gilbert  nous laissait jouer. C’était un café vivant, pas un troquet, avec de la place, très fréquenté par d’autres jeunes, comme ce café tenu par le couple Heuzé à côté de la boulangerie, rue Raymond Marcheron qui a disparu

    Parmi les endroits symboliques, il y avait cette maison abandonnée avec un  vaste garage, rue Jean Baptiste Potin où l’on se retrouvait souvent. Accessoirement, mais en dehors de Vanves, on se retrouvait dans les carrières de Paris – Il y avait  une entrée sous la ligne de la petite ceinture dans le XVéme – pour  des soirées régulières. Enfin, j’ai travaillé chez certains commerçants du marché, notamment avec Sylvie ... On a beaucoup profité du biblioblus qui a fait aimer les livres aux jeunes, fréquenté les concerts dans la chapelle du lycée….les cours de solfége de M.Petit au conservatoire, qui m’a fait aimé le solfége contrairement aux autres…

    VAQ - Qu’est-ce qui a changé aujourd’hui à Vanves, 20 ans aprés ?

    J.B.C. : « En mal, il y a de plus en plus de places payantes, avec des endroits délicats comme le Plateau où les immeubles ne vieillissent pas très bien. En bien, cette ville s’est améliorée esthétiquement. La place de la République est magnifique, par contre elle est bruyante l’été et la nuit surtout. Et ses nombreuses petites impasses où il fait si bon vivre.  Cette commune est surtout proche de Paris, tout en restant un petit village, assez vert, agréable, pas encore à des prix stratosphériques comme à Issy les Moulineaux, où tout le monde se connaît. La plupart des jeunes que je connais, sont restés plus ou moins dans le coin.

    VAQ - Qu’est-ce qui vous a amené à écrire un roman policier ?

    J.B.C. : « N’étant ni médecin, ni astrophysicien, je pense que ce que fais reste une question de bon sens, et l’écriture une question d’envie. D’ailleurs mon professeur de philosophie voulait absolument que je fasse une Khagne parce qu’elle trouvait que j’étais vraiment très bon en philo et en Français. Mais je lui disais, qu’étant en Terminal ES (Economie), j’étais un borgne au royaume des aveugles, puisqu’en terminal ES, on se foutait pas mal de la philo. Mais statiquement, ceux qui sont passés par ES sont des gens équilibrés 3 ans après leur sortie, et sont même rentrés dans la vie professionnelle.

    J’ai un côté pragmatique qui fait que je me suis dit que je ne vais pas vive avec cela. Je suis partie, au niveau professionnel,  dans l’économie. Et lors d’un voyage au Pérou, j’ai eu l’idée d’un programme court que j’ai proposé à la TV en démarchant les chaînes, après avoir monté avec quelques amis un pîlote. NJR me l’a acheté, m’a mis en contact avec une boite de production qui a racheté le concept, se l’est approprié,  l’a complétement défloré pour arriver au final à un refus de NJR qui ne reconnaissait rien du concept initial. Fort de cette expérience très instructive, parce que cela m’a donné confiance, je me suis lancé dans l’écriture d’un roman, car personne n’interviendra sur l’histoire que je veux raconter.

    VAQ - Pourquoi le roman policier ?

    J.B.C. : « A cause de mon côté pragmatique car c’est ce qui se vend le mieux. Et  parce que l’on peut traiter de tous les sujets, passer différents messages, et j’avais pas mal de chose à dire sur de nombreux sujets.  Et je voulais faire un truc  avec un peu humour. Enfin, je voulais que ma grand mère le lise, car elle le lit que des romans policiers, en dehors des livres historiques.

    VAQ – Pourquoi avoir choisi Vanves comme  décor ?

    J.B.C. : « Parce que j’aime Vanves. J’ai donc installé mon héros dans un appartement de Vanves : Un commissaire de la PJ, passionné de pêche, qui s’en va pêcher quai des Orfévres. Il n’y a pas de raisons que les commissaires soient comme tout le monde. Ils ne sont pas forcément bien payés, et ne peuvent pas toujours habiter dans des endroits somptueux.

    A SUIVRE…